Résumé : Quand, en 1934, je publiai dans les Cahiers du Sud ce texte alors vieux de plus de sept ans, je le dédiai à Robert Desnos, mon compagnon de suuréalisme puis de dissidence. c'est à lui en effet qu'appartenait de droit la grande fugue où, m'appuyant sur son exemple, j'avais sciemment usé et abusé des pouvoirs du langage pour tenter de créer une sorte de mythe. En l'occurence, transposition fabuleuse d'une novillada sans picadors qui s'était déroulée, un dimanche d'Août 1926, aux arènes romaines de Fréjus...